Les réseaux sociaux n'ont pas tardé à s’emparer de l’affaire du Carlton de Lille, qui a entamé aujourd’hui son deuxième jour de procès. Une journée beaucoup moins médiatisée que celle d’hier mais toujours fortement suivie. Entre journalistes présents sur place et commentaires d’anonymes, l’affaire du Carlton continue d’enflammer la toile.
Le procès Carlton agite toujours les Twitter et autres Facebook, avec cependant un peu moins de force qu’hier. En effet, le hashtag Carlton n’apparait qu’en 5e position aujourd’hui dans les tendances France, alors qu’il trustait la 1e place hier. Le nombre décroissant de journalistes sur place explique en partie cette tendance. On sent d’ailleurs la déception poindre chez certains de ces derniers. Sara Ghibaudo, journaliste à France Inter, note l’absence de l’accusé numéro 1. « J'ai oublié de préciser que DSK n'est plus là, son tour viendra la semaine prochaine. » nous raconte-t-elle. Il est vrai que le nombre de journalistes sur place a fortement diminué aujourd’hui.
Lionel Top, le correspondant à Lille pour BFM TV et RMC, relate l’évolution de la 2e journée de procès. Dont notamment ce moment fort, je cite : « premier témoignage de prostitué, mère de 2 enfants. Passée à l'acte par nécessité car "mon frigo était vide" ». Cette deuxième journée de procès était en effet consacrée aux premiers témoignages des victimes.
Le compte Twitter de Christelle Monteagudo, journaliste à Sud Radio, nous fait part quant à elle d’une anecdote noire de sens. Récit d’un dialogue entre le président du Tribunal et Jade, l’une des prostituées, au sujet des rencontres organisées au Carlton : « on vous offrait le déjeuner? -oui. On était le dessert », répond Jade. Lugubre.
Pendant ce temps, France Bleu Nord, appuyé par Didier Specq, journaliste à Nord Eclair, se lance dans le délicat jeu des pronostics : « DSK sera probablement relaxé », assure-t-il. Réponse dans quelques mois.
L’Obs de son côté insiste sur les phrases chocs de cette journée, notamment celle de Dodo la Saumure qui n’a « pas loupé son entrée ». « Il fallait faire tomber Dodo, la cible à abattre, c’était moi », ou bien encore un très bon « J’ai peur que DSK ternisse ma réputation ! " Du caviar pour nos amis journalistes.
Le journaliste sportif Pierre Salviac choisit lui le ton de l’ironie pour relater ce procès. « 8 français sur 10 pensent que DSK ferait mieux que Hollande Quitte a se faire baiser autant que ce soit par un professionnel ». Une ironie qui est reprise par de nombreux anonymes depuis le début du procès. Le compte parodique du Stagiaire de BFM invente ainsi quelques propos de DSK : « Si j'ai trempé dans cette affaire, ce n'est que de quelques centimètres. » Le Patron du Twitzer se demande quant à lui qui va payer l’addition à la suite de l’ouverture du restaurant de Nafissatou Diallo.
Réponse très prochainement sur les réseaux sociaux.
Lionel Top, le correspondant à Lille pour BFM TV et RMC, relate l’évolution de la 2e journée de procès. Dont notamment ce moment fort, je cite : « premier témoignage de prostitué, mère de 2 enfants. Passée à l'acte par nécessité car "mon frigo était vide" ». Cette deuxième journée de procès était en effet consacrée aux premiers témoignages des victimes.
Le compte Twitter de Christelle Monteagudo, journaliste à Sud Radio, nous fait part quant à elle d’une anecdote noire de sens. Récit d’un dialogue entre le président du Tribunal et Jade, l’une des prostituées, au sujet des rencontres organisées au Carlton : « on vous offrait le déjeuner? -oui. On était le dessert », répond Jade. Lugubre.
Pendant ce temps, France Bleu Nord, appuyé par Didier Specq, journaliste à Nord Eclair, se lance dans le délicat jeu des pronostics : « DSK sera probablement relaxé », assure-t-il. Réponse dans quelques mois.
L’Obs de son côté insiste sur les phrases chocs de cette journée, notamment celle de Dodo la Saumure qui n’a « pas loupé son entrée ». « Il fallait faire tomber Dodo, la cible à abattre, c’était moi », ou bien encore un très bon « J’ai peur que DSK ternisse ma réputation ! " Du caviar pour nos amis journalistes.
Le journaliste sportif Pierre Salviac choisit lui le ton de l’ironie pour relater ce procès. « 8 français sur 10 pensent que DSK ferait mieux que Hollande Quitte a se faire baiser autant que ce soit par un professionnel ». Une ironie qui est reprise par de nombreux anonymes depuis le début du procès. Le compte parodique du Stagiaire de BFM invente ainsi quelques propos de DSK : « Si j'ai trempé dans cette affaire, ce n'est que de quelques centimètres. » Le Patron du Twitzer se demande quant à lui qui va payer l’addition à la suite de l’ouverture du restaurant de Nafissatou Diallo.
Réponse très prochainement sur les réseaux sociaux.