L’Université Catholique de Lille accueillait ce mardi 15 octobre 2013 la deuxième conférence du cycle annuel de géopolitique, organisée par l’Espace Culturel de l’Université. Présentée par Paul André, enseignant-chercheur de la faculté, la défense des intérêts nationaux était à l’ordre du jour.
La géopolitique était à l’honneur dans l’amphithéâtre René Théry le mardi 15 octobre. Paul André, enseignant-chercheur à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, a débattu pendant deux heures devant un public garni. L’auditoire, composé d’une centaine de personnes, a pu échanger avec le conférencier. Un exposé en quatre points sur les différentes visions de la politique internationale, les rapports de puissance entre états, a occupé une grande partie du rendez-vous. Les références historiques et politiques n’ont pas manqué à l’heure d’évoquer les intérêts nationaux, leur diversité et leur complexité. Un deuxième moment d’échanges et de questions a conclu la rencontre.
L’intérêt d’un cycle de conférences
L’usage de la force dans les relations internationales. Tel est le fil conducteur des six conférences de l’année, qui se veulent brèves mais fortes. « Tous les ans, on organise un cycle géopolitique, qui s’était construit en fonction des pays les années précédentes », note Paul André, habitué de ces réunions. La pluralité des orateurs permet à « chaque intervenant d’apporter un éclairage différent » sur la question. Le format court est lui primordial. « Il permet de baliser un ensemble de questions très larges », juge ainsi Julien Navarro, organisateur de la conférence. Ce que confirme Paul André : « L’idée, c’est de présenter des points de vue sur la réalité des relations internationales. Le côté synthétique permet d’aller à l’essentiel. C’est plus utile pour les auditeurs qui ne sont pas forcément connaisseurs. »
Des auditeurs qui ont d’ores et déjà rendez-vous le 5 novembre prochain pour la troisième conférence du cycle.
L’intérêt d’un cycle de conférences
L’usage de la force dans les relations internationales. Tel est le fil conducteur des six conférences de l’année, qui se veulent brèves mais fortes. « Tous les ans, on organise un cycle géopolitique, qui s’était construit en fonction des pays les années précédentes », note Paul André, habitué de ces réunions. La pluralité des orateurs permet à « chaque intervenant d’apporter un éclairage différent » sur la question. Le format court est lui primordial. « Il permet de baliser un ensemble de questions très larges », juge ainsi Julien Navarro, organisateur de la conférence. Ce que confirme Paul André : « L’idée, c’est de présenter des points de vue sur la réalité des relations internationales. Le côté synthétique permet d’aller à l’essentiel. C’est plus utile pour les auditeurs qui ne sont pas forcément connaisseurs. »
Des auditeurs qui ont d’ores et déjà rendez-vous le 5 novembre prochain pour la troisième conférence du cycle.